mardi 6 juillet 2010

GERAUD, MAIS PAS NIMO !


On ne m'y reprendra pas! j'avais dit! Oui c'est vrai, mais c'est tellement facile... MEETIC!
Facile oui, mais attention, il faut bien se rendre compte d'une chose, et pas des moindres!
Je pourrais comparer ce site à un vivier de mecs soit désespérés, soit beaucoup trop libérés, soit qui n'arrivent pas à trouver l'élue dans le réel et qui se rabattent sur le virtuel (et n'hésitent pas à mentir sur leur âge / taille / poids / etc...)
Bon ok, il y a aussi des mecs normaux, pas obsédés, ni désespérés. Meetic, c'est quand même "324 unions par an" (ha ha ha...)
Bref, tout ça pour vous dire que je suis (encore) tombée sur un de ces tordus accro à Meetic...

Il s'appelle Géraud. Après quelques semaines de relation (et de tensions), je décide d'y mettre un terme.
Un mois plus tard, le pop-up Géraud est de retour.
Je lui donne alors une seconde chance et l'invite à un apéro. La veille, une amie qui se marie une semaine plus tard, nous demande de passer afin "d'évacuer" son stress. Je demande donc à Géraud de repousser notre soirée.
Il refuse et insiste, malgré ma prévention de son ennui.

Vendredi soir. Louise, notre amie et moi sommes dans le salon quand la sonnette retentit. Géraud.
Je le fais entrer, et nous continuons la soirée. Nous décidons de passer voir un ami qui travaille dans un resto non loin de chez nous. Géraud nous suit.
Arrivés devant le restaurant, coup de théâtre!
Géraud me dit qu'il préfère rentrer chez lui et se met littéralement à courir!

Le lendemain, mon téléphone sonne plusieurs fois m'indiquant (vive la technologie) le nom de: Géraud!
Je ne réponds pas. Il laisse plusieurs messages me demandant un autre rdv. Ce que je refuse, bien évidemment!

Morale de cette pauvre histoire: Quand tu décides de larguer un MEETIC BOY, ne reviens pas sur ta parole...

Zoé

Même sans un mot !!!



Il faut croire que ça existe encore les jeunes couples qui se marient…

La preuve, j’ai organisé l’enterrement de vie de jeune fille d’une amie.
Et pas des moindres !!
Virée en Angleterre dans une petite bourgade du nom de Cheltenham.
Il était prévu évidement que nous fêtions dignement ce moment !
Nous voilà donc mes neuf compères et moi dans les rues de cette ville à vendre des french cakes en attendant la soirée.
Nous logions toutes dans un appartement alloué au staff du club dans lequel nous avions prévu de passer notre soirée.
Le soir venu, je descend furtivement dire bonjour à nos hôtes, et la que vois-je ?!
Dean un Anglais que j’avais déjà « rencontré » !
Il était donc de la soirée…!
Je ne suis pas la pour vous raconter tous les aléas de cette mémorable nuit… Je resterai donc dans le vif du sujet !

Il a été difficile pour moi, pauvre coincée, de faire un pas pour allumer l’Anglais !
J’ai donc patiemment attendu qu’il daigne venir vers moi…

Chose importante à préciser : serait-ce mon poil dans la main, je ne sais pas, mais toujours est –il que je ne parle vraiment pas l’anglais !
Et lui pas un mot de français !!

En tout cas cette frontière des langues ne nous a ni lui ni moi découragé…
Pas besoin de se parler quand il s’agit de s’amuser !!!
Sauf que le matin, une fois la Party terminée, il m’a fallu vingt bonnes minutes pour savoir comment me carapater !
Ultime: solution me lever et me barrer!!

Une seule chose à rajouter, j’aurai du vérifier les affaires emportées…
Cela m’aurait évité de prendre la moitié des siennes et surtout de lui laisser les miennes (mon sac par exemple) !!
La voisine, me voyant stresser à l’idée d’y retourner (pour au moins récupérer mon sac), y est gentillement allée !

Moralité : pas besoin de parler, pour heuuu… Commu-niquer !!

Il eu par contre été évident que si cette histoire était faite pour durer j’aurais été dans l’obligation de bosser ce foutu anglais !!

Louise

AU CARRE !




Nous sommes un samedi du mois de décembre. Il fait -10°C, il neige...
Après quelques verres chez un ami, nous décidons avec mon amie Louise d'aller nous réchauffer à la Bellevilloise.
(www.labellevilloise.com)

A peine arrivées, nous enflammons le dancefloor... Au programme jazz manouche electro, autant dire que la soirée promet d'être un sacré défouloire pour Louise, moi, et la quantité impressionnante de beaux gosses présents ce soir!
Il me fallut seulement quelques minutes pour être embrassée par un (très) charmant jeune homme...
La soirée bat son plein quand Louise me retrouve et me dit qu'elle rentre... accompagnée.

Alors que je retourne danser, mon espace vital se retrouve vite amoindri par ce qu'on pourrait appeler un "pot de colle". Pour y remedier, je me jette littéralement dans les bras d'un petit mignon portant un chapeau (très important le chapeau pour la suite de l'histoire).
La soirée touche à sa fin... Nous rentrons donc ensemble chez moi.
Je vous passe les détails de cette nuit là, sauf peut être un... Qui mérite tout de même d'être raconté!

Au moment fatidique, le garçon dont je tairai le nom avait retiré son chapeau... Et là malheur !
Mon taux d'alcoolémie aidant, je n'avais pas remarqué qu'il portait, dissimulée sous son joli borsalino, une magnifique coupe au carré!
Horreur! Tout ce que je déteste ! Je vous laisse imaginer ma vision à ce moment précis... Les demoiselles n'auront aucun mal à visualiser la situation dans laquelle je me trouvais... dans la pénombre, de longs cheveux s'agitaient au dessus de moi.
Je ne pouvais plus faire machine arrière... J'ai dû attendre poliment que ce moment pénible se termine...

Mon seul conseil après cette expérience serait:
"Si comme moi vous n'aimez pas les longs cheveux, assurez vous que votre conquête ne dissimule pas sous un borsalino, un bandana ou tout autre accessoire, une magnifique COUPE AU CARRE !
Zoé.

Hello à tous !

Nous revoilà sur notre blog, et avec quelques nouvelles histoires à vous raconter!

Chapitre 1: Il faut déjà vous avertir que notre ami Victor à RE-conquit l'élue de son coeur et vit son idylle on ne sait où...
Mais comme on dit, pas de nouvelles, bonnes nouvelles !
"Alors va petit lapin, le bonheur est dans le pré..."

Chapitre 2: Gaspard, comment te dire? La méthode B.B (Braco Bouracho! voir post antérieur) n'a jamais et ne sera jamais une alternative acceptable!
C'est pourquoi nous te laissons: bonne chance!

Chapitre 3: Zoé et Louise ont pleins de choses a vous raconter!!!

jeudi 28 janvier 2010

MISTER MYSTERE



Me voilà de retour d'un rdv "arrangé" avec un collègue de ma soeur, " de passage à Paris"...
Rendez-vous à 19h00.
19h10, premier appel : " Bah t'es où?" Il me répond "Blanche"
Je rétorque " Super! T'es juste à côté!"
19h25, mon téléphone sonne :
- "Chuis à Anvers.
- Dommage...pourquoi t'es pas resté à Blanche?? T'étais à côté! Bah, fait demi-tour."
(OK, je précise, il n'est pas de la région, mais il avait un GPS, un Iphone ainsi que l'adresse exacte.)
Mister assisté se fait attendre.
19h50, la porte s'ouvre enfin. Et là, malheur! Le gars (commercial de surcroît), entre dans le café, me regarde et s'esclaffe : "AAh! comment tu ressembles à ta soeur! J't'ai reconnue diiiirect!"
Mais pourquoi je ressemble tant à ma soeur?!
Je dégustais mes tapas et mon rhum coco, et lui commande un chocolat chaud. Le serveur lui fait remarquer que sans alcool, la fête est plus folle avec un gros clin d'oeil à mon attention.
J'étais démasquée...j'allais passer une piètre soirée.
Après 40 min de discussions dépourvues de sens (le prix des loyers parisiens, les différents forfaits proposés par l'opérateur X, tout cela ponctué de rires gras et tonitruants), j'ai dû très vite trouver quelque chose...
Aux dépends de mon amie Louise, j'ai lâchement utilisé son infortune de la veille et prétendu devoir courir à son secours, SUR-LE-CHAMP! Avec toutes mes excuses...
Ouf! je m'en suis pas mal sortie.
Juste un petit conseil, restez prudents avec ce genre d'ouverture et ne prenez surtout pas la table devant l'entrée, mais plutôt la banquette du fond...histoire d'anticiper.
Et peut-être éviter un Mister Galère.

Zoé

La drague à l'hôpital


Petit accident, gros ciseaux.
C'est ainsi que je me retrouve un mardi dans une clinique du côté de ce joli quartier de Bagnolet.
Cette histoire commence lundi. C'est avec grande maladresse que mes ciseaux dérapent et viennent se loger dans mon pouce. Pour moi, coupure=pansement.
Ce n'est pas ce qu'on pensé mes collègues le lendemain matin en me voyant moi et mon énorme main... Je vous passe les détails du parcours du combattant docteur, urgences et clinique de la main, tout ça en bus!
Mais quoi qu'il en soit je me retrouve donc ce mardi après-midi dans cette clinique. Déjà que je trouvais bizarre qu'on m'aie formellement interdit de fumer, de manger ou même de boire (d'un autre côté, c'était trop tard), j'ai trouvé un peu exagéré que l'on m'alloue une chambre avec une télé! Je n'étais pas au bout de mes surprises. Persuadée de sortir d'ici au bout d'une petite heure, quelle ne fut pas ma surprise lorsqu'une infirmière agressive m'a intimé de me déshabiller et d'enfiler cette blouse!
Là j'ai quand même commencé à flipper.

C'est alors qu'intervient le plus mignon des brancardiers qui m'invite à monter dans son "taxi". Pour me transférer du lit au brancard, il a fallu jouer l'acrobate et éviter de montrer que j'avais (malgré l'interdiction) quand même gardé ma culotte...
Je reste digne et lui lance une oeillade lorsqu'il sort de sa poche 3 magnifiques chaussons en plastique. 1 pour ma tête, 2 pour mes pieds puis il m'a joliment déguisé. Autant vous dire qu'à ce stade, j'ai laissé tombé le charme. J'étais obsédée qu'il aie vu mes pieds! Pour un premier contact il eût été plus apprécié que je me sois pédicurée.
L'angoisse et la peur de l'inconnu, mon dieu que vont-ils me faire? Je décide de demander à ce jeune homme de façon agréable et charmeuse ce qu'il compte faire de moi. Mais le ton qui est sorti de ma bouche s'est révélé plutôt agressif. Il m'a alors posé nonchalamment dans un couloir et abandonnée à mon triste sort (tu m'étonnes!)
Arrive ensuite un charmant petit infirmier qui m'emmène au bloc opératoire tout en essayant de me réconforter. Pensant à la façon dont j'étais attifée, je me suis dit qu'il valait mieux laisser tomber la drague pour aujourd'hui.

Moralité, si tu te fais opérer...bah c'est chaud de draguer.

Louise

lundi 25 janvier 2010

La Bellivilloise Episode 2



On peut parfois, dans la vie, éprouver une sensation de réchauffé...
C'est-à-dire que réitérer un acte sous le coup du charme peut s'avérer décevant.


Donc, voilà, j'ai accepté un deuxième rendez-vous avec le joli jeune homme de la Bellevilloise.
Grosse erreur, on ne m'y reprendra pas! Nous n'avions finalement rien en commun. Très sympa certes, mais pas du tout mon genre et visiblement il en était de même pour la partie opposée.
L'euphorie de ce soir là est retombée comme un flan!
Résumé de ce chapitre : les mecs d'un soir sont vraiment des mecs d'un soir.
Et je n'ai toujours pas trouvé mon joli bateau...

Louise